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Loudéac - 6, avenue des Combattants

du lundi au vendredi

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Lamballe - 10, rue des Augustins

Jeudi matin de 9h à 10h

Quintin - Mairie

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Coordonnées téléphoniques

Téléphone : 02-96-66-42-63

Fax : 02-96-66-42-61

Pour contacter Marc Le Fur

7 juillet 2010 3 07 /07 /juillet /2010 09:35

COR05555.jpgL’Association Leader a lancé une vaste opération pour équiper le territoire en défibrillateurs automatiques. Cet instrument permet de délivrer un choque électrique à une personne venant de faire un arrêt cardiaque dans l’attente des secours. L’appareil est conçu pour permettre à des non médecins de sauver des vies. Deux électrodes sont placées sur le thorax du patient. Un ordinateur analyse le rythme cardiaque et détermine si un choc est recommandé. Si oui, le défibrillateur donne les instructions vocales pour « choquer » le patient en toute sécurité.

 

Les élus de Ploeuc-sur-Lié ont décidé d’investir dans un de ces appareils pour un coût de 1200 euros financé à hauteur de 700 euros par Leader.

 

L’opération défibrillateur de Leader ayant été lancée à Ploeuc à l’occasion d’une journée de sensibilisation le 26 avril 2009, Marc LE FUR, a profité de la présentation du défibrillateur installé à la Mairie pour en faire le bilan.

 

« 29 appareils ont été installés dans les 25 communes. L’accès au défibrillateur automatique est un grand défi : En cas de malaise cardiaque s’il y a un défibrillateur  et une personne sachant l’utiliser à proximité la chance de survivre est multipliée par 10 ! C’est d’autant plus important dans les territoires ruraux où nous sommes éloignés des centres hospitaliers ».

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6 juillet 2010 2 06 /07 /juillet /2010 16:51

Dans un courrier du 21 juin, Michel MERCIER, Ministre de l’Espace rural et de l’aménagement du territoire, a annoncé au Député Marc LE FUR, que l’Etat attribuait deux aides pour la supérette du GOURAY. Ces aides représentent un total de 7594 euros au titre du Fonds d’intervention pour les services, l’artisanat et le commerce. Elles sont attribuées, l’une à la commune qui est propriétaire du local, l’autre au gérant afin d’acheter du matériel. « Je me réjouis que l’Etat soutienne ainsi le commerce en milieu rural, notamment dans le Mené » conclut Marc LE FUR.

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6 juillet 2010 2 06 /07 /juillet /2010 16:43

Une cinquantaine de militants du secteur de Loudéac se sont retrouvés samedi 3 juillet pour un buffet convivial autour du député Marc Le Fur, du Conseiller général d’Uzel Loïc Roscouet et du Conseiller régional Stéphane de Sallier Dupin.

L’échange convivial a permis d’aborder l’amendement Le Fur sur la simplification administrative dans l’élevage, la réforme des retraites et la réforme des collectivités territoriales.

Visite-AN-0661.JPG

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2 juillet 2010 5 02 /07 /juillet /2010 18:06

 Michel MERCIER, Ministre de l’Espace rural et l’aménagement du territoire, a annoncé ce vendredi 2 juillet au Député Marc LE FUR, que la Communauté de communes du Mené figurait parmi les premiers pôles d’excellence rurale, nouvelle génération. Ce dossier, lancé à l’initiative des élus de la Communauté de communes du Mené et de son Président, Michel FABLET, soutenu par Guy LE HELLOCO, Président du Pays du Centre-Bretagne et par le Député Marc LE FUR, va permettre à la collectivité de poursuivre son effort dans le domaine de l’énergie. « La Communauté de communes du Mené avait déjà été retenue dans la première génération des Pôles d’Excellence Rurale. En se voyant sélectionné parmi les premiers dossiers de la deuxième génération, voilà le Mené de nouveau reconnu pour son dynamisme dans le domaine des économies d’énergie et des énergies renouvelables » conclut le Député Marc LE FUR.

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2 juillet 2010 5 02 /07 /juillet /2010 11:43

M. le président. La parole est à M. Marc Le Fur.

M. Marc Le Fur. Alors que nous sommes, mes chers collègues, en plein débat agricole, l’actualité suit son cours, et elle impacte directement nos débats.

Elle se manifeste en l’occurrence par un article paru dans l’édition de ce jour des Echos, intitulé « Déficits excessifs : Bruxelles couperait les aides agricoles ». De quoi s’agit-il ? Un commissaire européen, et pas le moindre puisqu’il s’agit du commissaire européen aux affaires économiques et monétaires, M. Olli Rehn, nous explique que les aides agricoles mais aussi les aides touchant à l’aménagement du territoire versées aux pays supposés en déficit excessif seraient interrompues après alerte. C’est du moins ce qu’il propose.

Immédiatement après avoir découvert cet article, j’ai consulté le site de la Commission européenne.

. Il apparaît que cette communication a été approuvée par la Commission.

M. Jean Lassalle. C’est scandaleux !

M. Marc Le Fur. Il ne s’agit donc pas, semble-t-il, d’une initiative prise par un commissaire seul, il s’agit d’une initiative de la Commission. Le non-respect des recommandations visant à corriger le déficit excessif « impliquerait l’annulation des engagements budgétaires et la perte définitive des paiements des pays concernés » en matière de politique agricole et de politique territoriale.

M. Jean Lassalle. Il n’y a plus d’Europe !

M. Marc Le Fur. Il est vrai, monsieur le ministre, que les pays pourraient continuer à verser des aides, mais ce serait sur leurs propres deniers. Cependant, ils en seraient bien évidemment incapables, particulièrement la France, où les aides sont particulièrement conséquentes.

Je souhaiterais, monsieur le ministre, que vous nous rassuriez très vite, et, au-delà, que vous rassuriez l’ensemble des agriculteurs. C’est pour cette raison que je me suis permis ce rappel au règlement.

M. Bruno Le Maire, ministre de l'agriculture. Vous posez, monsieur le député, une question de fond.

Je connais bien M. le commissaire Olli Rehn, homme tout à fait remarquable et appréciable. J’ai travaillé avec lui dans de très bonnes conditions lorsque j’étais secrétaire d’État chargé aux affaires européennes.

Je rappelle en outre que, sous l’autorité du Président de la République et du Premier ministre, la France s’est engagée sur la voie d’une politique de désendettement et de réduction de ses déficits publics. Elle respectera bien entendu ses engagements à l’euro près.

S’agissant de la proposition formulée par la commission, je serai très clair avec vous : je la trouve à la fois injuste, inéquitable et inefficace. (Applaudissements sur les bancs du groupe UMP.)

Elle est injuste parce qu’elle revient à prendre les agriculteurs comme boucs émissaires de difficultés auxquelles ils sont étrangers.

Elle est inéquitable parce qu’elle revient à stigmatiser une politique commune plutôt qu’une autre. Comme par hasard, c’est, comme toujours, la politique agricole commune.

Elle est évidemment inefficace. La suppression des aides à un État qui n’aurait pas respecté les règles en vigueur en matière de déficit budgétaire et leur renationalisation conduiraient à creuser encore davantage ce dernier. Cela n’a pas de sens ! (Applaudissements sur les bancs du groupe UMP.)

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2 juillet 2010 5 02 /07 /juillet /2010 11:40

M. le président. La parole est à M. Marc Le Fur.

M. Thierry Benoit. Vive la Bretagne !

M. Marc Le Fur. Monsieur le ministre, quand on fait une loi, on se fixe un objectif. En l’espèce, celui-ci est simple, concret, précis : il s’agit de permettre à notre agriculture de gagner en compétitivité. Voilà l’essentiel ; ne nous dispersons pas.

Au demeurant, nous pouvons être raisonnablement optimistes. La demande mondiale est en train de croître et devient solvable. Dans des pays tels que la Chine et l’Inde, on assiste à l’apparition d’une classe moyenne, désormais capable d’acheter nos produits et qui se tourne de plus en plus vers une alimentation carnée. Ne laissons pas ces marchés aux Américains du nord et du sud, aux pays de l’Océanie, aux Russes et aux Ukrainiens !

M. Thierry Benoit. Très bien !

M. Marc Le Fur. Certes, il faut tenir compte du commerce de proximité et du bio, mais ces secteurs ne peuvent survivre que s’ils demeurent des niches. Notre agriculture doit donc rester orientée pour l’essentiel vers des marchés porteurs et conséquents au plan international.

Pour lui permettre de gagner en compétitivité, il nous faut tenir compte de la concurrence, qu’elle soit extra-européenne – on en a beaucoup parlé –, mais aussi intra-européenne. Or, on a trop négligé l’apparition, sur le marché agricole, de l’Allemagne, qui nous dame le pion dans de multiples secteurs : la fraise, l’asperge, le lait ou la viande de porc. C’est un véritable sujet, monsieur le ministre, et je connais votre expertise dans le domaine des relations franco-allemandes. N’oublions pas que l’Europe fut en quelque sorte fondée sur un partage : à l’une l’industrie, à l’autre l’agriculture. Le problème, c’est que celle à qui revenait l’agriculture est en train de se faire supplanter dans ce domaine par celle qui tient déjà l’industrie.

M. Jean Lassalle. Très juste !

M. Marc Le Fur. Sans nuire aux excellentes relations que nous entretenons avec l’Allemagne, cela pose un problème de fond,…

M. Thierry Benoit et M. Daniel Fasquelle. Tout à fait !

M. Marc Le Fur. …pour l’agriculture, bien entendu, mais également pour l’agroalimentaire de manière générale – nous ne parlons pas suffisamment du couplage de ces deux secteurs. (« Absolument ! » sur plusieurs bancs du groupe UMP.) Certes, les thèmes législatifs ayant trait à l’agroalimentaire sont moins nombreux, mais c’est le véritable sujet : ce projet de loi concerne non seulement les paysans, mais aussi les ouvriers ! (Mêmes mouvements.) Si, dans une circonscription comme la mienne, nous avons la chance d’avoir un taux de chômage de 6 %, alors que la moyenne nationale est de 10 %, c’est parce que nous avons un secteur agroalimentaire riche et important. Les salaires sont peut-être modestes, mais les papas et les mamans rentrent à la maison avec un salaire ; cela compte, et j’y tiens.

M. Jean Lassalle. Très bien !

M. Marc Le Fur. Nous devons donc travailler sur un certain nombre de problèmes liés à l’agroalimentaire. Je pense en particulier aux troubles musculo-squelettiques, question essentielle pour bon nombre de nos compatriotes sur laquelle je me permettrai de vous soumettre des propositions dans les mois qui viennent.

Monsieur le ministre, il est d’autant plus regrettable que l’agroalimentaire ne figure pas dans votre texte que je tiens à vous délivrer publiquement un satisfecit pour vous être investi dans un dossier majeur, extrêmement complexe et délicat : celui d’Entremont. Rappelons-nous en effet que la crise laitière en cachait une autre, plus grave encore : on exigeait des agriculteurs qu’ils vendent leur lait toujours moins cher. L’affaire Entremont était délicate, car l’entreprise n’étant pas en liquidation, la marge de manœuvre de la puissance publique était étroite. Or vous êtes parvenus à vous en sortir, monsieur le ministre.

Nous devons favoriser l’apparition des champions de demain. À cet égard, il faut se féliciter du rapprochement d’Entremont et d’une grande coopérative normande ou de la création, en Bretagne, de Triskallia, qui fédère un certain nombre de coopératives du grand Ouest. Encore faut-il que, face à ces champions, qui auront du pouvoir, le monde agricole puisse défendre ses intérêts.

Par ailleurs, l’aléa est un élément essentiel en agriculture, qu’il soit lié au climat, aux maladies ou à l’économie. Naguère, la PAC permettait de l’atténuer ; la PAC n’existe plus, et l’on peut le regretter. l’Europe a commis, me semble-t-il, une erreur fondamentale en privilégiant les aides directes plutôt que les aides aux marchés. En effet, il suffit souvent d’une aide peu élevée, une aide à l’export par exemple. Hélas ! nous avons préféré les aides directes, qui coûtaient beaucoup plus cher. Il est vrai qu’à cette époque, lors des négociations des années 1980-1990, la France n’a pas été écoutée, mes chers collègues de gauche.

Toujours est-il que nous devons atténuer l’aléa en utilisant des moyens franco-français. Or, nous avons créé un très bon dispositif en la matière : la dotation pour aléa, dont je me réjouis qu’elle ait évolué lors de l’examen de la dernière loi de finances, grâce à un amendement que j’ai eu l’honneur de défendre. Alors qu’auparavant, on ne retrouvait l’argent de sa DPA qu’en cas de crise sanitaire ou climatique, désormais, on peut également en bénéficier lors d’une crise économique. Qu’est-ce que la DPA ? Elle relève d’un principe d’une simplicité évangélique : dans les périodes de vaches grasses, on met de l’argent de côté pour les périodes de vaches maigres. Il faut que nous progressions fiscalement dans ce domaine, mais voilà l’essentiel du produit.

Monsieur le ministre, vous proposez de conditionner le bénéfice de la DPA à la souscription d’une assurance. Sur le principe, je n’y suis pas opposé, mais cela complique quelque peu le dispositif, qui n’est déjà pas simple. Actuellement, l’assurance est très limitée. Ainsi dans le département des Côtes-d’Armor, que je représente, un millième des hectares donne lieu à une assurance récoltes. C’est pourquoi je souscris entièrement à l’une des propositions de notre excellent rapporteur (« Absolument ! » sur les bancs du groupe UMP) – il fait d’ailleurs l’unanimité dans cette enceinte (Sourires sur les bancs du groupe SRC) –, qui consiste à permettre à l’exploitant d’être dispensé de souscrire une assurance lorsque la DPA n’est pas trop importante.

Encore une fois, je suis d’accord avec vous sur le projet d’assurance, mais pour que celle-ci soit efficace, une réassurance est nécessaire. Vous vous battez en ce sens au plan européen, et c’est très bien. Mais ce serait mieux si nous avions également l’assurance fourrage, car l’assurance récolte ne concerne que les céréaliers, et non les éleveurs. En outre, même si j’aime beaucoup Groupama et le Crédit agricole, il conviendrait que la concurrence soit un peu plus développée.

Tant qu’à substituer un système d’assurance publique de type « catastrophes naturelles », à un système d’assurance privée, faisons en sorte d’y introduire en même temps ce qui est l’un des avantages du privé, à savoir la concurrence ! Je sais que vous y travaillez et je m’en réjouis.

Par ailleurs, je vous ai écouté, monsieur le ministre, et je suis d’accord avec vous sur l’opportunité d’aller vers le contrat. Pour ce faire, il n’est pas nécessaire de recourir à la loi : dans ma région, les producteurs qui fournissent des légumes à des entreprises de surgélation telles que Bonduelle ont conclu avec elles des contrats, et ils en sont plutôt satisfaits.

M. Bruno Le Maire, ministre de l’alimentation, de l’agriculture et de la pêche. C’est vrai !

M. Marc Le Fur. Cela dit, si l’on peut se féliciter que les entreprises en question soient d’une taille suffisante pour prétendre à une ambition mondiale, encore faut-il que les producteurs soient en mesure de s’organiser pour éviter que le rapport de force ne soit par trop inégal. Vous imaginez bien que face à Lactalis, un producteur laitier isolé ne fait pas le poids !

Nous devons faire en sorte que les organisations de producteurs reconnues puissent se regrouper en fédérations, ce qui permettra aux agriculteurs de traiter avec les grandes entreprises dans un rapport de forces plus équilibré.

M. Thierry Benoit. Très bien !

M. Marc Le Fur. J’ai déposé un amendement en ce sens et j’espère, mes chers collègues, que vous l’accueillerez favorablement. Si nous ne donnions pas aux agriculteurs les moyens de se regrouper, nous passerions à côté de l’essentiel.

Monsieur le ministre, nous savons bien que cette loi doit se faire sous contrainte : nos finances publiques sont exsangues et nous ne pouvons plus, comme nous le faisions naguère, multiplier les crédits et les niches fiscales. Quels sont les leviers sur lesquels nous pouvons encore agir ? Il est un amendement qui a fait un certain bruit, celui relatif à « l’impôt paperasse », spécificité franco-française ! L’allégement de cette contrainte ne coûtera rien, au contraire, il se traduira par une réduction du nombre de fonctionnaires. L’amendement que j’ai déposé vise à réduire la contrainte réglementaire – mais je ne l’exposerai pas en détail pour le moment, car M. le président ne manquerait pas de me rappeler à l’ordre, et il n’aurait pas tort. (Sourires.)

Mon amendement a suscité des critiques très relayées par la presse. Ainsi, dans ma région, cinquante associations ont appelé leurs militants à manifester, et il en est résulté une manifestation de… cinquante personnes !

Celles-ci connaissaient d’ailleurs si bien les lieux qu’elles se sont trompées : au lieu de venir manifester devant ma permanence, elles se sont regroupées devant la CAF ! (Rires sur les bancs du groupe UMP.)

J’espère que la presse se montrera aussi empressée à relayer le succès de la manifestation qui s’est déroulée aujourd’hui à Rennes, avec la mobilisation de 500 agriculteurs pour défendre l’amendement en question !

M. Michel Raison, rapporteur de la commission des affaires économiques. Pour une seule association !

M. Marc Le Fur. Pour ma part, j’estime qu’il vaut mieux écouter les agriculteurs, qui se lèvent tôt pour aller travailler, plutôt que ceux qui nuisent, qui gênent, qui empêchent : même si le point de vue de ces derniers peut être considéré comme légitime, il faut savoir les remettre à leur place ! (Applaudissements sur les bancs du groupe UMP.)

M. Thierry Benoit. Très bien !

M. Marc Le Fur. Lors de cette manifestation, les agriculteurs, qui sont très bons en communication, avaient procédé à une petite mise en scène : un agriculteur portait le maillot de l’équipe allemande de football, tandis qu’un autre portait le maillot bleu de l’équipe de France. (Exclamations sur les bancs du groupe UMP.) Alors que le premier courait sans aucune difficulté, le porteur du maillot français poussait devant lui une brouette surchargée de paperasse. (Rires et exclamations.)

M. Germinal Peiro. C’est donc pour ça que la France a été éliminée ! (Rires.)

M. Marc Le Fur. Finissons-en avec l’impôt paperasse afin de donner à nos agriculteurs les moyens d’être compétitifs ! (Applaudissements sur les bancs du groupe UMP.)

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2 juillet 2010 5 02 /07 /juillet /2010 11:32

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Cinquante-cinq habitants de l’Hermitage Lorge, Le Bodéo et La Harmoye ont répondu à l’invitation de Thibaut Guignard pour visiter l’Assemblée Nationale mardi dernier. La journée a commencé par une ballade sur la Seine en « bateau mouche » qui leur a permis de découvrir les plus beaux monuments de Paris. Ils ont ensuite déjeuné avec le Député Marc Le Fur qui leur a présenté son rôle à l’Assemblée Nationale. Puis, ils ont assisté au lancement des débats sur la Loi de Modernisation Agricole en présence du Ministre de l’Agriculture, de l’Alimentation et de la Pêche, Bruno Le Maire.

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2 juillet 2010 5 02 /07 /juillet /2010 11:04

Photo Lamballe 30 juin 2010

A l’invitation de leur député Marc LE FUR, du Conseiller régional Stéphane de SALLIER DUPIN et du Président de l’association Lamball’avenir Yves MEGRET, un groupe de Lamballais a visité l’Assemblée nationale ce mercredi 30 juin.

Après un départ à 4 heures du matin, le groupe a découvert Paris en Bateau-mouche. Le déjeuner avec le Député a été l’occasion de mieux connaître le fonctionnement de notre démocratie avant découvrir l’Hôtel de Lassay, résidence du Président de l’Assemblée nationale.

Le groupe a ensuite suivi la discussion générale sur la Loi de Modernisation Agricole, dans l’hémicycle, présidé par Marc LE FUR.

La journée s’est terminée par une visite de la magnifique bibliothèque de l’Assemblée nationale sous les toiles de Delacroix.

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1 juillet 2010 4 01 /07 /juillet /2010 09:43

Le Député Marc LE FUR a annoncé ce lundi la prochaine visite de Philippe de GUENIN, nouveau Directeur de l’Institut Français du Cheval et de l’Equitation (IFCE) successeur de l’administration des Haras Nationaux. « Cette visite aura lieu à Lamballe le lundi 12 juillet. » déclare Marc LE FUR. « Je me réjouis que le nouveau directeur de l’IFCE vienne ainsi à Lamballe. J’avais attiré son attention sur l’importance de ce site des Haras en Bretagne notamment après l’annonce l’automne dernier, de la sélection du site de Lamballe pour accueillir le nouvel Institut. » poursuit le Député. « Le Directeur a bien voulu répondre à ma sollicitation. Cette visite sera l’occasion d’évoquer maintenant les missions et le rôle de l’ICPE à Lamballe, haut-lieu des Haras nationaux en Bretagne » conclut Marc LE FUR.

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23 juin 2010 3 23 /06 /juin /2010 17:31

Le 22 juin 2010, à l’issue du dernier match qualificatif de la poule A de la Coupe du Monde de football, le sélectionneur de l’équipe de France a refusé de serrer la main du sélectionneur du pays organisateur, témoignant ainsi, au-delà de la personne et de la fonction du sélectionneur de cette équipe nationale,  d’un manque de respect total vis-à-vis du peuple sud-africain. Cet incident n’est que la suite d’une tragique aventure sportive caractérisée par la médiocrité, la suffisance, et le manque de décence.

 

Durant quinze jours, les Français et les passionnés de football du monde entier ont été confrontés à un spectacle affligeant : absence de communication avec la population locale, entraînement à huis clos, comportement outrepassant la notion de vulgarité, grève larvée… et performances sportives sans rapport aucun avec les moyens financiers mobilisés.

 

Au-delà de la catastrophe sportive, l’ultime incident survenu a entaché l’image de la France dans le monde entier.

 

L’ensemble de ces faits révèle de graves dysfonctionnements de la Fédération Française de Football, organisme de droit privé accomplissant une mission de service public. C’est pourquoi, Marc Le Fur et Philippe Meunier proposent de créer une commission d’enquête sur l’organisation par la Fédération Française de Football de la participation de l’équipe de France à la coupe du Monde de Football

 

CONTACTS :

 

Fabrice LAYER : Attaché de Presse de Marc LE FUR : 06 79 47 57 59

 

 

 

ASSEMBLÉE NATIONALE

CONSTITUTION DU 4 OCTOBRE 1958

TREIZIÈME LÉGISLATURE

Enregistré à la Présidence de l’Assemblée nationale le 23 juin 2010

 

PROPOSITION DE RÉSOLUTION

tendant à la création d’une commission d’enquête sur l’organisation par la Fédération Française de Football de la participation de l’équipe de France à la coupe du Monde du Football

 

présentée par MM. Marc LE FUR et Philippe MEUNIER

Député.


EXPOSÉ DES MOTIFS

 

Mesdames, Messieurs,

 

Le 22 juin 2010, à l’issue du dernier match qualificatif de la poule A de la Coupe du Monde de football, le sélectionneur de l’équipe de France a refusé de serrer la main du sélectionneur du pays organisateur, témoignant ainsi d’un manque de respect total vis-à-vis du peuple sud-africain.

 

Cet incident n’est que la suite d’une tragique aventure sportive caractérisée par la médiocrité, la suffisance, et le manque de décence.

 

Durant quinze jours, les Français et les passionnés de football du monde entier ont été confrontés à un spectacle affligeant : absence de communication avec la population locale, entraînement à huis clos, comportement outrepassant la notion de vulgarité, grève larvée… et performances sportives sans rapport aucun avec les moyens financiers mobilisés.

 

Au-delà de la catastrophe sportive, l’ultime incident survenu a entaché l’image de la France dans le monde entier.

 

L’ensemble de ces faits révèle de graves dysfonctionnements de la Fédération Française de Football, organisme de droit privé accomplissant une mission de service public.

 

C’est pourquoi, il est proposé de créer une commission d’enquête sur l’organisation par la Fédération Française de Football de la participation de l’équipe de France à la coupe du Monde de Football

 

PROPOSITION DE RÉSOLUTION

 

Article unique

En application des articles 140 et suivants du Règlement, est créée une commission d’enquête de trente membres sur l’organisation par la Fédération Française de Football de la participation de l’équipe de France à la coupe du Monde du Football

 

Elle devra évaluer les moyens financiers mis en œuvre, les conditions dans lesquelles se sont déroulées la préparation des épreuves, la mise en œuvre des sanctions pour les joueurs ayant dérogé à leurs obligations professionnelles et fédérales et la gouvernance de la fédération lors de cette compétition.

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