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Pour contacter Marc Le Fur

21 janvier 2005 5 21 /01 /janvier /2005 00:00

800 personnes pour partager la galette des rois

Les participants, élus, responsables associatifs, chefs d’entreprise, venant des treize cantons de la circonscription ont été accueillis par le Maire de Plémy avant d’écouter successivement Jean-Luc GUYMARD, suppléant du député et Conseiller municipal de Lamballe et Marc LE FUR.

Le Député a dit combien il préférait porter un regard optimiste sur les événements d’Asie du Sud-Est en retenant la solidarité de tous plutôt que les images des victimes. Cette galette des rois a été l’occasion pour Marc Le Fur de rappeler les dossiers sur lesquels il continuera à s’engager cette année, notamment au service des familles :
-  La hausse du SMIC qui devra être suivi par tous les salaires et notamment les plus modestes,
-  Le statut des assistantes maternelles,
-  Le départ à la retraite avant 60 ans de tous les Français qui ont commencé à travailler très jeunes,
-  L’exonération des jobs d’été des jeunes de la feuille d’impôt de leurs parents. sans oublier la prochaine loi sur l’agriculture Le Député a également rappelé les dossiers locaux sur lesquels il continue à s’investir : la RN 164, l’hôpital du Centre-Bretagne, l’église Saint-Martin de Lamballe, avant de souhaiter à tous une belle et bonne année de satisfaction familiale et professionnelle. Cette galette des rois a également été l’occasion pour Marc LE FUR de présenter son équipe constituée de Thérèse MORIN et Stéphane SALLIER sur la circonscription et de Samuel LE GOFF et de Michel LE FUR à Paris.

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8 décembre 2004 3 08 /12 /décembre /2004 00:00
 Financement du Referundum sur le projet de traité constitutionnel

Monsieur le président, monsieur le ministre, mes chers collègues,

je me contenterai d’évoquer deux lignes particulières de ce collectif, et d’abord celle qui a trait au financement du référendum qui permettra aux Français de trancher le débat majeur de la Constitution européenne. Je me limiterai à cette tribune à l’aspect financier de cette question. Mais, comme on le verra, on aborde à travers ce prisme des enjeux essentiels, politiques au sens le plus noble du terme.

Une campagne référendaire est l’occasion d’informer les Français d’une manière exhaustive et pluraliste. Le collectif a prévu un crédit de 39,3 millions euros, qui s’ajoutent aux 25 millions d’euros prévus en loi de finances initiale. Ce sont donc au total 64,3 millions d’euros qui sont prévus au titre de la campagne officielle, qui relève du ministère de l’intérieur.

À quoi va servir cet argent, telle est la question. L’essentiel de la dépense doit servir à financer ce qu’on a improprement appelé la « propagande officielle » - il vaudrait mieux parler d’information électorale - adressée aux électeurs : il s’agit d’envoyer 42 millions de plis. Ces documents doivent comporter, outre les bulletins de vote, cela va de soi, le texte de la Constitution. Se pose alors la question du format, sachant que le format « Journal officiel », qui fut retenu pour le traité de Maastricht, est répétitif et à peu près illisible.

Le deuxième problème, plus complexe, concerne les protocoles annexés au traité, qui sont extrêmement nombreux.

Certains ont peu d’intérêt pour nous - le statut du Groenland, par exemple. D’autres en revanche sont essentiels : ainsi le protocole n° 1, qui traite du rôle des parlements nationaux ; le protocole n° 2, concernant le principe de subsidiarité ; le protocole n° 6, qui a trait au siège des instances européennes. Je vous rappelle qu’en droit international les protocoles ont la valeur du traité.

C’est dire combien est essentielle la question de savoir si ces protocoles doivent être adressés au décideur, le citoyen en l’occurrence. Le problème est que ces protocoles représentent 430 pages, au vu du document que nous a préparé notre collègue Pierre Lequiller. Soit nous respectons la logique juridique et nous les joignons aux autres documents ; soit nous ne le faisons pas, et nous risquons de réduire abusivement l’information du décideur ultime, qui est le citoyen.

La deuxième question qui se pose à propos du contenu de ces plis est celle de savoir s’ils doivent contenir des commentaires, notamment des partis politiques, comme les professions de foi des candidats à une élection. Je vous rappelle, mes chers collègues, que, selon l’article 4 de la Constitution, les partis concourent à l’expression du suffrage. Leur rôle dans cette affaire a été reconnu par le Président de la République lui-même, qui a salué la récente décision du parti socialiste.

Comment permettre cette expression des partis politiques ? Il semblerait logique que figurent dans le document les opinions diverses de plusieurs partis, et pas seulement de ceux qui sont représentés dans cette assemblée. Il faudrait élargir le champ à ceux qui siègent au Parlement européen. On pourrait me rétorquer qu’aucun commentaire n’avait été joint aux documents concernant le référendum sur Maastricht et celui sur le quinquennat, mais ce dernier n’avait pas eu la portée populaire que l’on pressent pour celui de l’année prochaine. Pour Maastricht, la situation était totalement différente : en 1992, il n’y avait pas de règle de financement des partis politiques ; ce n’est arrivé qu’en 1993. Nous avons maintenant un corpus de règles, qui présente parfois des avantages, mais qui condamne les partis politiques à ne vivre que de fonds publics. Sans fonds publics, comment pourraient-ils concourir à l’expression du suffrage sur ce référendum ? Il faut que les opinions diverses, le oui comme le non, puissent s’exprimer. Peut-on, pour cela, imaginer un autre vecteur que les partis ? La question qui est posée est donc celle du financement de la vie politique. Nous avons un système parfaitement prévu pour la démocratie représentative : les candidats et les élus génèrent de la dépense, mais aussi de la recette. En revanche, rien n’est prévu pour financer la démocratie directe. Ce référendum est l’occasion de fixer les règles d’un tel financement. L’attachement de nombre d’entre nous à la démocratie directe doit nous inciter à répondre clairement à ces questions.

Autre poste de dépense : l’envoi des documents. Le poids de chaque pli dépassant cent grammes, nous ne sommes plus dans le cadre du monopole de La Poste. Un appel d’offres européen a donc été lancé, en toute logique, d’ailleurs. Comment solliciter les électeurs sur une affaire européenne sans respecter les règles européennes ? Lancé le 2 décembre, cet appel d’offres suit son cours. Paradoxalement, la Bundespost pourrait parfaitement y répondre,mais La Poste sera certainement la mieux placée. En tout état de cause, cet appel d’offres conditionne le calendrier puisqu’il ne sera définitivement clos que début mai au plus tôt. Comme l’a dit un très haut fonctionnaire, le code des marchés publics tient la démocratie en l’état !

Pour envoyer à chacun des Français un document identique, il ne sera pas nécessaire de passer par les préfectures, comme on le fait d’habitude pour les élections. C’est un routeur qui diffusera ce même document, ce qui permettra de réaliser des économies. Mais cela posera un problème de principe puisque, pour faire un envoi unique, il faut un fichier électoral unique, que nous devrons constituer puisqu’il n’existe pas.

Outre la campagne officielle, une information civique devra être diffusée. À cet égard, 10 millions d’euros figurent au budget du ministère des affaires étrangères, dont 5 millions au titre du collectif, pour les supports d’information : brochures ou numéro vert. Cette information doit être pédagogique mais neutre, comme l’a récemment rappelé le président Mazeaud. Elle doit permettre d’éclairer nos concitoyens sans devenir une campagne en faveur d’une option du référendum.

Sur ces questions relatives au référendum, monsieur le ministre, je souhaiterais que vous puissiez nous éclairer.

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8 décembre 2004 3 08 /12 /décembre /2004 00:00

L'argent des radars au profit de la prévention routière

Le deuxième point que je souhaite soulever s’agissant de ce collectif est l’argent des radars, qui intéresse grandement nos concitoyens et alimente les conversations.

Notre pays a décidé, à l’initiative du Président de la République, de s’engager dans un formidable combat pour la sécurité routière. Nous sommes en train de le gagner : le mois dernier encore, 10 % de vies humaines sauvées, 4 000 depuis le début de la campagne. Cela a été rendu possible grâce à la prévention, à l’information, mais aussi à la répression, même si elle prend parfois des tours désagréables que nous pouvons réprouver. Cette répression, c’est l’argent provenant des mille radars mis en place. Depuis la fin de l’année 2003, ce sont 91 millions qui ont été engagés pour les installer. Au 6 décembre, ils avaient déjà rapporté 92,742 millions d’euros. Nous arrivons donc déjà à l’équilibre. En 2005, ce seront 60,48 millions d’euros qui seront affectés à l’investissement en radars au titre du collectif. Au terme du dispositif, le coût d’investissement sera de 200 millions d’euros, la recette annuelle d’environ 375 millions d’euros et le coût de fonctionnement, recouvrant en particulier les envois en recommandé et les moyens informatiques, de 20 millions d’euros. En tout état de cause, les radars vont rapporter.

À quoi doit servir l’argent ? D’abord, à payer les radars. Mais, dès le début de 2005, un surplus se dégagera. Où ira-t-il ?

La seule chose clairement décidée est que l’argent restera à l’État en 2005 et en 2006. Comment l’utilisera-t-il ? Il convient de tordre le cou à l’idée largement répandue que cet argent irait aux forces de police ou de gendarmerie. C’est évidemment faux.

Mais cette recette singulière ne doit pas être assimilée à une recette banale ni être traitée comme un impôt. Elle ne doit pas tomber dans le grand trou du budget de l’État. L’argent pris aux automobilistes doit, d’une manière ou d’une autre, leur revenir par le biais de la sécurité routière.

L’adéquation entre la recette et son utilisation est la condition pour rendre la sanction tolérable. Nos concitoyens ne l’accepteront que s’ils savent que cet argent sera utilisé pour leur sécurité. Ce lien indiscutable entre la recette et la dépense devrait recueillir l’unanimité parmi nous. Parmi les dépenses envisageables, notre collègue Jean-Michel Bertrand travaille sur la possibilité de financer la formation et le permis de conduire, extrêmement coûteux pour les familles modestes, ce qui aurait un impact direct sur la sécurité. En matière routière, un certain nombre de points noirs pourraient être éliminés. On pourrait aussi financer les services d’urgences des hôpitaux qui accueillent les grands blessés de la route ou encore les services qui traitent, souvent pendant de longues années, les grands traumatisés de la route.

Sans prétendre avoir la solution, je tenais à vous livrer ces quelques pistes de réflexion. Permettez-moi d’insister sur la nécessité d’établir un lien entre la recette et la dépense. Il en va de la crédibilité du dispositif.

M. Mariton vient de le dire, il faut un compte d’affectation spéciale. Qu’on ne me dise pas que c’est impossible : l’article 21 de la LOLF le prévoit expressément. Du reste, ce point est traité dans La réforme du budget de l’État, document paru à LGDJ qui fait autorité. C’est dire si nous avons les moyens de prendre cette décision, qui n’est pas simplement financière mais éminemment politique.

Chacun ici en conviendra, pour que notre politique de sécurité routière porte ses fruits, nous devons convaincre les automobilistes que l’argent qui leur est pris de façon si désagréable leur revient, d’une manière ou d’une autre. (Applaudissements sur les bancs du groupe de l’Union pour un mouvement populaire.)

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2 décembre 2004 4 02 /12 /décembre /2004 00:00
JOBS D’ETE : exonération équivalent à deux mois de SMIC pour les enfants âgés de 16 à 21 ans

Extrait des débats à l’Assemblée nationale

M. Marc Le Fur - L'amendement 155, adopté par la commission, porte sur les « jobs » d'été. Quand un jeune étudiant travaille l'été, ce qu'il gagne figure généralement sur la feuille d'impôt de ses parents, auxquels il est fiscalement rattaché et qui doivent donc acquitter un impôt plus élevé. Voilà qui n'encourage guère à travailler. Le Gouvernement l'a compris, qui par l'article 64 accorde une exonération équivalant à un mois de SMIC pour les enfants âgés de 16 à 18 ans. Cette double limite nous paraissant exagérée, nous proposons de passer d'un mois à deux mois et de 18 à 21 ans. Cette extension encouragera les jeunes à travailler l'été, ce qui apportera à beaucoup d'entre eux une première et précieuse expérience professionnelle, et aidera ceux d'entre eux qui ont des difficultés à payer leurs études.

Il me semble d'autant plus opportun d'ouvrir cette possibilité que nombre de rapports récents, dont celui de M. Camdessus, insistent sur les difficultés particulières qui s'attachent à l'emploi des jeunes dans notre pays. Enfin, j'oserai dire que l'amendement ne serait pas extrêmement coûteux.

Il n'est pas rare que les parents ayant deux enfants aux études dans deux villes différentes soient contraints de payer deux logements. Il faut aider ces familles car elles sont confrontées à des charges très lourdes.

L'amendement 155, mis aux voix, est adopté.

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2 décembre 2004 4 02 /12 /décembre /2004 00:00

Une équipe de collaborateurs

 

Stéphane  de Sallier Dupin
Stéphane de Sallier Dupin est basé à Loudéac. Il est chargé des dossiers de la circonscription.

Fabrice Layer
Fabrice Layer est basé à Paris. Il assure le suivi des dossiers législatifs et du travail parlementaire.

Thérèse Morin
Thérèse Morin est basée à Loudéac. Elle assure l’administration de la permanence et le secrétariat de Marc Le Fur.

Florence Mistler
Florence Mistler est l'assistante parisienne de Marc Le Fur.
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15 octobre 2004 5 15 /10 /octobre /2004 00:00

Défendre les retraites agricoles

En janvier 2004, la mensualisation des retraites agricoles est entrée en vigueur. Cette mesure, très attendue par les retraités agricoles, pouvait poser problème pour certains. En effet, les retraités agricoles vont toucher en 2004 l’équivalent de 14 mois de pension. Ce supplément de revenus pouvait rendre imposable des retraités agricoles qui ne l’étaient pas. Marc Le Fur a donc déposé un amendement à la loi de Finances pour que des 2 mois supplémentaires ne soient pas pris en compte dans les revenus de 2004. L’Assemblée Nationale a adopté cet amendement, considérant que la modestie des pensions de retraite agricoles justifiait une telle mesure d’exonération.


 

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8 juillet 2004 4 08 /07 /juillet /2004 00:00

Marc Le Fur rend compte de son action

Permettez moi, en tant que Conseiller Général de notre Canton, de faire le point sur un certain nombre de dossiers locaux qui, j’en suis convaincu, vous intéressent.

Je voudrais tout d’abord faire le point sur un certain nombre de routes départementales. Le CD 40 est l’une de mes préoccupations. En effet cette route, en particulier dans la traversée de la commune de Plaine-Haute est devenue très fréquentée, de nombreux salariés de Quintin, du Foeil et de Plaine-Haute l’utilisent quotidiennement pour se rendre à leur travail, à Saint-Brieuc, à Ploufragan au Zoopole en particulier. J’ai demandé qu’un comptage des véhicules qui empruntent cette route soit réalisé. Il a permis de constater qu’au niveau de Sainte Anne du Houlin, ce sont 1200 véhicules qui empruntent quotidiennement cette route.

Sur l’ensemble du CD 40 des aménagements de sécurité vont être réalisés. Ce sera en particulier le cas :
-  au carrefour de la croix neuve au Foeil,
-  à la jonction avec la route de Béchepée devenue dangereuse du fait du développement de ce quartier.

Du village de la Belle Fontaine au bourg de Plaine-Haute, un recalibrage de l’emprise de la route et un aménagement des accotements sont nécessaires, et vont être entrepris. Si la situation est désormais satisfaisante à Sainte Anne du Houlin, le problème de sécurité continue à se poser après Sainte Anne, sur les communes de Saint-Julien et de Ploufragan, Saint-Julien devrait faire un effort en 2003. Après cette série de travaux, ce CD 40 deviendra plus sûr, c’est bien l’objectif.

La route départementale 28 entre le Vieux Bourg et Quintin, dont l’enrobé vient d’être partiellement refait, exige encore des améliorations, ainsi :

-  un aménagement du carrefour du Bas Cadoret où la visibilité est très incertaine sera réalisé en 2003 par la subdivision de l’équipement.
-  au pont de Kéricouet des travaux sont en cours pour permettre un élargissement du pont ainsi qu’un aménagement de la chaussée de part et d’autre du pont

L’aménagement de la partie du CD 28 qui traverse la commune du Foeil sera poursuivi et les enrobés refaits.

Divers aménagements de sécurité ont été récemment réalisés sur les axes qui traversent le canton. J’ai en particulier obtenu des améliorations au droit du carrefour de Lanvia (des barrières bois rendent désormais ce carrefour plus sûr, tant pour les usagers que pour les riverains). Très vite également seront réalisés des aménagements à la sortie de l’usine Socavol à Saint-Brandan, afin que les personnels puissent rejoindre leur lieu de travail ou reprendre la route en toute sécurité. Je souhaite également que soit rapidement résolu le problème de l’embranchement de la route du village du Foyer en Saint-Brandan sur la RD 700, cet embranchement est actuellement très dangereux. J’ai provoqué récemment une réunion sur place à ce sujet.

La sécurité routière est désormais une grande cause nationale, cela se traduit, au niveau national, par des lois que j’ai à connaître en tant que Député. Cela se traduit aussi par des aménagements très concrets sur le terrain et sur nos routes, mais il s’agit du même combat pour la vie.

Nous avons la chance de vivre dans un Canton qui dispose d’un patrimoine exceptionnel encore faut-il le préserver, le mettre en valeur, l’animer. Des manifestations locales, comme la fête des Tisserands ou la Saint-Martin y contribuent grandement. J’ai obtenu que ces diverses manifestations soient accompagnées financièrement par le Conseil Régional et le Conseil Général. La préservation du Patrimoine est un travail de longue haleine, les associations qui y contribuent doivent se sentir financièrement soutenues, je m’y suis employé. Je pense à l’association ARBRES ou aux associations qui restaurent nos chapelles comme Notre-Dame de Kerdrouallan en Saint-Gildas, ou bien Saint-Eutrope, ou Lanvia en Saint-Brandan. N’oublions pas le manoir de Saint-Bedan où les bénévoles ont réalisé un travail remarquable.

En matière de logement, un gros effort d’aide a été entrepris grâce à l’OPAH pour laquelle nous bénéficions du soutien de l’Etat, de la Région et du Département. Cette opération a été lancée dès 2001 avec le soutien de l’ensemble des élus du Canton de Quintin, mais aussi de Ploeuc et d’Uzel. Cette opération est gérée par l’association LEADER que je préside et nous bénéficions du concours de l’Europe. Le succès de cette opération dépasse nos espérances, c’est près d’un million d’euros, soit 6 500 000 francs d’aides qui ont déjà été attribuées à des particuliers sur le territoire des deux cantons de Quintin et de Ploeuc. A ce jour, ce sont 60 logements locatifs qui ont été créés ou réhabilités, ce sont 167 propriétaires occupants qui ont pu améliorer leur résidence principale, ce sont enfin 27 familles auxquelles il a été possible d’accorder un coup de main pour accéder à la propriété. J’invite tous ceux qui veulent améliorer leur logement, qui désirent accéder à la propriété ou qui veulent mettre en location un bien qui leur appartient, à se renseigner afin de saisir l’occasion. C’est l’intérêt de tous, c’est aussi un excellent stimulant pour les métiers du bâtiment, les artisans du secteur sont d’ailleurs bien conscients de l’intérêt de cet OPAH.

Je dois dire que j’ai éprouvé une satisfaction très réelle et très personnelle à voir se réaliser à la gare de Quintin en Saint-Brandan, une Ecole de formation de chiens d’assistance. Ainsi près de chez nous, sont formés ces chiens qui sont non seulement des compagnons, mais aussi des auxiliaires de vie pour des personnes très lourdement handicapées et notamment pour des enfants atteints de myopathie. Ce centre est géré par l’ANECAH, l’association caritative désormais bien connue, qui est l’un des partenaires habituels du téléthon. L’arrivée de cette Ecole de formation de chiens d’assistance, résulte d’un concours de circonstances. Il se trouve que j’ai eu l’occasion de faire la connaissance à Paris, de la Présidente de l’ANECAH. Nous nous sommes lancés ensemble dans l’aventure. J’ai constaté avec plaisir une réelle mobilisation locale pour accueillir ce projet à la fois caritatif et économique. Ainsi le lancement de la construction a été rendu possible grâce à l’effort conjoint des communes de Quintin et de Saint-Brandan, avec ensuite l’intervention de la Communauté de communes. Pour cela nous avons obtenu des crédits de l’Europe, de l’Etat, de la Région et du Département.

En matière agricole la mise aux normes des bâtiments d’élevage se poursuit et il faut saluer l’effort fait par les agriculteurs du canton. Cessons de dire que les agriculteurs sont les seuls fautifs en matière d’environnement, nous polluons tous. A cet égard, je tiens également à souligner que j’ai veillé à ce que le Conseil Général et le Conseil Régional accompagnent les efforts d’assainissement réalisés par les collectivités. C’est le cas à Saint-Brandan, à Plaine-Haute et au Vieux-Bourg. La première réalité économique de notre Canton reste l’agriculture et l’agroalimentaire, et à cet égard, je me réjouis que nos entreprises locales aient récemment engagé de gros investissements. Je pense à Toury ou à Elquin, à Alliance Nutrition Animale. Ce sont autant de garanties quant au maintien de l’emploi chez nous.

Notre canton à la chance de disposer de nombreux Etablissements scolaires : huit écoles primaires publiques ou privées, deux collèges, deux lycées. Je suis avec attention les projets de Jean XXIII, et ceux de Jean Monnet où l’ensemble de l’internat a été refait grâce aux financements obtenus du Conseil Régional. Pour les collèges, des travaux importants sont envisagés à l’initiative du Conseil Général à la cantine du collège du Volozen. Le centre cybercommune de Quintin va être renforcé afin de devenir un véritable espace de formation. Cette présence importante de jeunes exige de nombreuses animations. Les clubs sportifs, tout comme la MJC, font un gros travail. En cyclisme, l’Etoile Quintinaise est devenue un rendez-vous important de la saison.

La sécurité est la préoccupation majeure de nos concitoyens et il ne faut pas se le cacher, nos campagnes et notre petite cité de caractère ne sont pas épargnées. J’ai obtenu une augmentation sensible des effectifs de notre Brigade de Gendarmerie qui sont passés de 7 à 9 gendarmes. Demain, nous pourrons disposer à Quintin d’effectifs encore plus importants qui nous seraient attribués dans le cadre d’une réorganisation globale de la gendarmerie dans les Côtes d’Armor, dans ce cadre, nous pourrons doubler les effectifs de la brigade, qui passeront à 18 gendarmes. Dans le domaine de la sécurité les Pompiers jouent également un rôle essentiel, chez nous la qualité du travail des sapeurs pompiers volontaires doit être soulignée. Ils disposent désormais d’une remarquable caserne, très opérationnelle. Nous la devons à l’effort financier des communes que le Maire de Quintin, Claude Morin, a su fédérer.

Au chapitre social une inquiétude : l’avenir de la Salle verte. L’hôpital de Saint Brieuc, qui en est l’actuel gestionnaire, semble s’en désintéresser. Il s’agit pourtant d’un outil remarquable, très utile pour les convalescents. L’hôpital, le foyer logement, le comité d’entraide ont été confrontés à la mise en place de l’APA pour les personnes âgées, Dans le canton, 45 anciens en bénéficient.

Il faut penser à l’avenir : en juillet dernier le Ministre chargé de l’aménagement du territoire répondait favorablement à la demande de l’Association Leader, et nous retenait au titre du programme Leader Plus. Notre territoire avait déjà bénéficié d’un programme Européen Leader. Nous avions pour cela constitué une association regroupant sur le territoire des Cantons de Quintin et de Ploeuc les élus, mais aussi diverses personnes de bonne volonté parmi les responsables socio-professionnels. Par décision prise en juillet dernier, c’est un crédit d’un million d’euros qui nous est attribué, afin d’accompagner des projets de développement local. Nous avons décidé de faire porter nos efforts, pour les 5 années à venir, dans plusieurs directions : - La création d’une école de musique ouverte aux enfants et aux adultes. Cela manque au pays de Quintin. Ce sera un plus pour les familles, ce service manque au Pays de Quintin. - L’ouverture d’un service de transport à la demande. Il s’agit d’une nouvelle forme de transport collectif adapté au monde rural et très utile pour les personnes âgées, mais aussi pour les familles qui éprouvent des difficultés à se déplacer. Si nous parvenons à mettre ce service en place, il sera possible, par exemple, pour quelqu’un qui réside dans l’une des communes du Canton, au Leslay à Saint Bihy ou ailleurs de se rendre au marché du mardi matin à Quintin. - enfin nous accompagnerons les efforts d’organisation de nos commerçants locaux.

Nous disposons de moyens, mais encore faut-il que les collectivités et en particulier la Communauté de Communes, puissent prendre en main les projets.

Votre Conseiller Général MARC LE FUR

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1 janvier 2004 4 01 /01 /janvier /2004 00:00
Marc LE FUR

Marc Le Fur est né à Dakar le 28 novembre 1956

Breton de l’intérieur, Marc Le Fur l’est par toutes ses fibres, ses attaches sont à Plévin dans la partie la plus centrale de la Bretagne entre Rostrenen et Carhaix . Ses grands-mères étaient des paysannes qui portaient la coiffe et c’est tout  naturellement qu’il apprend le breton en famille .

Son père, comme bien des bretons de sa génération doit s’expatrier pour travailler successivement en Afrique puis à Paris. Marc Le Fur comme ses quatre frères, suit les pérégrinations de la famille, mais le port d’attache est toujours au coeur de la Bretagne .

La passion de l’histoire l’anime très tôt et le conduit tout naturellement à s’intéresser à la chose publique : c’est en allant écouter Marie Madeleine Dieneschà Rostrenen , députée de Loudéac à l’époque, qu’il assiste à sa première réunion politique à 17 ans .

Titulaire d’une licence d’histoire et diplômé de Sciences-po Paris en 1978, Marc Le Fur réussit le concours de l’ENA.

Son attachement à la Bretagne est fort. Toutes les occasions sont bonnes pour y revenir. c’est le cas du service militaire où il sert dans une unité opérationnelle, l’Infanterie de marine à Dinan . C’est le cas également du stage d’entreprise qu’il doit effectuer dans le cadre de sa scolarité, Marc choisit de le faire sur le terrain, dans le monde agro-alimentaire, dans une coopérative agricole de Landerneau .

Sa formation à l’ENA s’achève en juin 1983, il choisit de devenir Sous-Préfet. Là aussi il saisit l’occasion de faire ses débuts dans son département d’origine, comme Directeur de Cabinet du Préfet des Côtes-du-Nord .

Mais bientôt il lui faut quitter Saint-Brieuc pour Amiens où il est nommé Sous-Préfet, Directeur du Cabinet du Préfet de région PICARDIE.

En 1986, Jacques CHIRAC devient Premier Ministre, Edouard BALLADUR est nommé aux finances et recherche un jeune collaborateur pour l’accompagner. Il appelle auprès de lui Marc Le Fur, qui intègre son cabinet.

La défaite de la droite en 1988 le ramène au Ministère de l’Intérieur. Il se voit confier des missions de coopération internationales : TOGO, ARABIE SAOUDITE, JAPON.

Cela lui laisse malgré tout le temps d’épouser Nathalie et de fonder une famille : Anne, Corentin et Baptiste viendront bientôt égayer le foyer.

Fin 1990, il devient Directeur des services du Conseil Général des Deux-Sèvres. Ce poste lui apporte une nouvelle expérience et lui fait connaitre de l’intérieur le fonctionnement d’un conseil général au moment où la décentralisation s’est mise en place.

Fin 1992, les militants gaullistes du département cherchent un candidat pour la circonscription de LAMBALLE/LOUDEAC, réunis à PLOUGUENAST, ils décident à l’unanimité de faire de Marc Le Fur leur candidat. Le Docteur Pierre ETIENNE, Conseiller Général de Loudéac lui fait également confiance, en acceptant de devenir son suppléant. A la surprise des observateurs, ils l’emportent aux élections législatives de 1993.

Il devient membre de la Commission des finances à l’Assemblée

Avec sa famille, il s’installe à QUINTIN où Nathalie et lui décident de vivre et d’élever leurs enfants : Aux trois grands viennent s’ajouter deux petites filles, Soazig et Marie-Sixtine nées à la maternité de LOUDEAC.

MARC LE FUR inaugure une autre manière de faire la politique, proche des gens, il rend régulièrement compte de son mandat, ainsi à l’occasion de potées conviviales il écoute et s’efforce de répondre aux questions .Il invite les citoyens à visiter l’Assemblée Nationale leur offrant ainsi une leçon d’instruction civique grandeur nature.

En 1997,lors de la dissolution même s’il fait l’union autour de lui et même s’il résiste bien à la vague de gauche, il est battu .

Redevenu simple citoyen, il reprend son activité professionnelle et va bientôt rejoindre l’IHESI l’Institut des Hautes Etudes de Sécurité Intérieure, qui regroupe des spécialistes de la sécurité.

Devenu Conseiller Régional de BRETAGNE en 1998, il se bat sur des sujets locaux en obtenant en particulier que la région s’investisse sur l’axe routier qui intéresse notre secteur ( Nationale 164- axe triskel). Passionné de culture bretonne il oeuvre avec d’autres pour qu’elle soit mieux reconnue car elle représente un élément d’identité majeure pour notre région, pour les jeunes notamment .

Fidèle à son secteur de QUINTIN, où il élève sa famille, il s’investit dans le développement local par le biais de l’Association « leader » qui va permettre aux cantons de Quintin et de Ploeuc de bénéficier de crédits européens . En mars 2001, lors des élections cantonales, les électeurs du canton de QUINTIN lui font d’ailleurs confiance à une large majorité.

En 2002, Marc Le Fur retrouve son siège de député avec 52,71%des voix au second tour.

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1 avril 2003 2 01 /04 /avril /2003 00:00
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1 janvier 2003 3 01 /01 /janvier /2003 00:00

La troisième circonscription des Côtes d’Armor comprend 13 cantons et 93 communes.

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