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Pour contacter Marc Le Fur

15 novembre 2013 5 15 /11 /novembre /2013 11:47

Lors de l’émission « Direct politique » Mme Lebranchu, Ministre de la Fonction publique, a déclaré qu’il fallait en finir avec le débat sur l’écotaxe et passer à autre chose. « Or, le même jour, le même ministre faisait voter la suppression du jour de carence pour les fonctionnaires »poursuit le Député Marc Le Fur. « Il s’agit de la même somme ! D’une part, l’Etat perd 1 milliard d’euros tous les ans en supprimant le jour de carence des fonctionnaires, d’autre part il ponctionne 1 milliard d’euros tous les ans en percevant le fruit de l’écotaxe. Décidément, ce Gouvernement ne recule devant aucune incohérence. » conclut le Député costarmoricain.

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13 novembre 2013 3 13 /11 /novembre /2013 17:14

Ce mardi 12 novembre, à l’initiative du Député Marc LE FUR qui déposait un amendement de suppression de l’écotaxe, les députés ont eu l’occasion de débattre de l’écotaxe à l’Assemblée nationale. « C’est le premier débat sur ce sujet dans l’hémicycle depuis le début de la crise » précise Marc LE FUR. « Malheureusement, l’ensemble des députés finistériens étaient comme par hasard absents de l’hémicycle à ce moment précis. » poursuit le député costarmoricain.

« Il faut sortir de l'ambiguïté gouvernementale, celle du « ni ni ». On ne supprime pas, on n'applique pas, on suspend, mais cela reviendra. » a alors déclaré Marc Le Fur. « Ce n'est plus un impôt, c'est un symbole. Mme Royal qui, souvent, a des intuitions, parle de révolte citoyenne. Cette écotaxe est le symbole d'un excès de fiscalité, c'est aussi le symbole d'une disposition contre l'emploi. Que l'on ne s'y trompe pas, ce sujet n'est pas uniquement breton ; il concerne l'ensemble de nos concitoyens. S'il a pris plus d'importance en Bretagne, c'est parce que nous sommes à l'extrême ouest, et donc, plus concernés par les problèmes de raccordement. » a poursuivi le vice-président de l’Assemblée nationale.

« Ce qui se passe, et vous le savez très bien, c’est que le coût du transport est trop peu onéreux… » a alors osé répondre le très influent Olivier Faure, Député PS de Seine-et-Marne, Vice-président du Groupe Socialiste à l’Assemblée nationale et Secrétaire National du Parti socialiste à la communication, provoquant de nombreuses exclamations sur les bancs de l’opposition.

 

Alors que l’ensemble des députés de l’UMP ont voté pour l’amendement de suppression de l’écotaxe présenté par Marc Le Fur, la majorité socialiste a préféré rejeter cette proposition.

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12 novembre 2013 2 12 /11 /novembre /2013 17:42

Ce soir, mardi 12 novembre, dans le cadre du Projet de Loi de Finances 2014, c’est le Budget de l’environnement qui sera débattu. Le Député Marc LE FUR se saisit de ce débat pour proposer un amendement de suppression de l’écotaxe. Il l’avait déjà fait en 2008, lors de la création du dispositif. « L’amendement que je porte est cosigné par de nombreux collègues. Pour la première fois depuis le début de la crise, nous allons pouvoir aborder sereinement, dans l’enceinte de l’Assemblée, la question de l’écotaxe. Cela donnera l’occasion au Gouvernement de donner sa position devant la représentation nationale et, nous l’espérons, d’en finir avec l’écotaxe.» déclare le Député Marc LE FUR.

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9 novembre 2013 6 09 /11 /novembre /2013 12:29
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29 octobre 2013 2 29 /10 /octobre /2013 17:11

A la suite de l’interpellation du Premier Ministre sur l’écotaxe lors des questions au Gouvernement ce mardi 29 octobre, le Député Marc LE FUR tient à apporter la réponse suivante :

« Le Premier Ministre me fait beaucoup d’honneur en me mettant personnellement en cause dans cette affaire mais, avant de se lancer, il aurait mieux fait de vérifier ses informations. Le débat sur l’écotaxe a eu lieu en octobre et novembre 2008. L’écotaxe figurait dans l’article 60 du Projet de Loi de Finances pour 2009. Avec d’autres députés bretons et notamment Pierre Méhaignerie, j’ai alors présenté un amendement (N°212) visant à supprimer l’article 60 et donc, déjà, à supprimer l’écotaxe. Cet amendement a malheureusement été rejeté mais le Premier Ministre ne peut pas me faire un procès en cohérence sur ce sujet. Depuis le début, j’ai toujours été contre l’écotaxe.»

Pour ceux qui aimeraient vérifier, je leur donne ici la copie de mon intervention et le texte de l’amendement

 


Compte-rendu des débats : jeudi 6 novembre 2008

Mme la présidente. Je suis saisie d’un amendement n° 212, visant à supprimer l’article 60.

La parole est à M. Marc Le Fur.

M. Marc Le Fur. Il y a quelques semaines, nous avons adopté à l’unanimité la traduction législative du Grenelle de l’environnement et il nous faut à présent respecter cette belle ambition, mais tenir compte aussi d’un autre souci : celui de l’activité économique. Notre travail consiste à placer le curseur au mieux entre ces deux objectifs. Cependant, depuis le temps où les différents groupes étaient réunis pour le Grenelle de l’environnement – il y a de cela un an –, la situation économique a changé : nous sommes en crise.

Or, que nous propose l’article 60 ? De créer une fiscalité – peu négligeable puisque la recette envisagée se situe à un milliard d’euros – sur les poids lourds, la logistique, c’est-à-dire sur l’ensemble de l’économie et plus précisément sur les pondéreux : tout ce qui exige des transports et qui comporte une grosse part de transport dans le prix final.

Cela revient donc à instaurer une fiscalité sur le lait, la viande et l’ensemble des pondéreux transportés par les camions. Vous me direz, monsieur le secrétaire d’État, qu’elle ne sera mise en œuvre que dans trois ans. Mais c’est bien pis ! La recette sera peut-être perçue dans trois ans, mais c’est aujourd’hui que ce message négatif est envoyé aux transporteurs. Cela suffit, me semble-t-il, pour que nous examinions la disposition d’un peu plus près.

Par ailleurs, le but du texte est de confier, via un appel d’offres, la collecte de la taxe et la définition de son assiette à un partenaire privé qui engagera, le cas échéant, les poursuites nécessaires. En somme, on rétablit les fermiers généraux d’avant 1789 : jusqu’à présent, notre tradition fiscale attribue en effet la collecte de l’impôt à des régies. Au reste, le Conseil d’État est tout ce qu’il y a de plus réservé sur le présent article.

Tout cela m’incline à penser, monsieur le secrétaire d’État, que nous devrions engager une réflexion plus approfondie, afin de prendre également en compte l’objectif d’aménagement du territoire.

 

 

 

 

 

ASSEMBLÉE NATIONALE

4 novembre 2008


PROJET DE LOI DE FINANCES POUR 2009 - (n° 1127)
(Seconde partie)

Commission

 

Gouvernement

 

REJETÉ

AMENDEMENT N° II - 212

présenté par

M. Le Fur, M. Méhaignerie, M. Lorgeoux, M. Christian Ménard, M. Goulard, 
Mme Marguerite Lamour, M. Le Nay, M. Loïc Bouvard, M. Benoit, M. Jacques Le Guen, M. Grall, M. Léonard, M. Diefenbacher, M. Paternotte, M. Alain Marc, M. Descoeur, M. Bony, 
Mme Gruny, M. Morel-A-L’Huisser, M. Mach et Mme de La Raudière

----------

ARTICLE 60

Supprimer cet article.

EXPOSÉ SOMMAIRE

Le VI de l’article 10 du projet de loi relatif au Grenelle de l’environnement adopté en première lecture dispose qu’une « une éco-redevance pourra être prélevée sur les poids lourds à compter de 2011 à raison du coût d’usage du réseau routier national métropolitain non concédé et des voies des collectivités territoriales susceptibles de subir un report de trafic. »

Cet article 10 précise que l’éco-redevance aura notamment pour objet de financer les projets d’infrastructures de transport et que le produit de cette taxation sera affecté chaque année à l’Agence de financement des infrastructures de transport de France pour la part du réseau routier national.

Le dernier alinéa de cet article 10 VI dispose que « par exception, des aménagements de la taxe, qu’ils soient tarifaires ou portant sur la définition du réseau taxable, seront prévus aux fins d’éviter un impact économique excessif sur les différents territoires au regard des considérations d’éloignement de ces territoires de l’espace européen et de disponibilité des modes de transport alternatifs à la route. ».

L’article 60 du projet de loi de finances ne tenant pas compte de l’amendement adopté, il convient de proposer sa suppression afin que le texte voté par la représentation nationale ne soit pas vidé de sa substance.

 

 

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25 octobre 2013 5 25 /10 /octobre /2013 08:17

A l’initiative du Député costarmoricain Marc LE FUR, 81 députés ont déposés ce jeudi 24 octobre une proposition de loi pour supprimer l’écotaxe poids-lourds.

« La crise dramatique que vit l’industrie en général et l’industrie agro-alimentaire en particulier change totalement le contexte dans lequel est créé l’écotaxe poids-lourds » déclarent les députés.

« Le poids du transport est déterminant dans la course à la compétitivité que vivent ces industries » précisent-ils.

« Or, ce projet d’écotaxe qui touchait tout particulièrement la Bretagne, région périphérique, va aussi impacter l’ensemble des industries françaises et plus spécialement les industries agro-alimentaire située dans les régions de l’Ouest de la France » ajoute Marc LE FUR

« Dans ce contexte, et à l’heure où nous enregistrons une nouvelle hausse du nombre des chômeurs, l’écotaxe poids-lourds devient un impôt sur l’emploi » poursuivent les députés avant de proposer d’abroger les articles 153 de la loi de de finances pour 2009 et 16 de la loi du 28 mai 2013  et par conséquent à supprimer l’écotaxe poids lourds.

 « La proposition de loi pour supprimer l’écotaxe poids-lourds a été déposée et enregistrée ce jeudi 24 octobre. » conclut le Vice-président de l’Assemblée nationale.

 

 

Cette proposition de loi est co-signée par

M. Marc LE FUR, Damien ABAD, Bernard ACCOYER, Yves ALBARELLO, Benoist APPARU, Julien AUBERT, Jean-Pierre BARBIER, Sylvain BERRIOS, Véronique BESSE, Etienne BLANC, Marcel BONNOT, Valérie BOYER, Xavier BRETON, Gérard CHERPION, Alain CHRETIEN, Dino CINIERI, Philippe COCHET, Jean-François COPE, Jean-Michel COUVE, Gérald DARMANIN, Marie-Christine DALLOZ, Bernard DEBRE, Jean-Pierre DECOOL, Lucien DEGAUCHY, Rémi DELATTE, Nicolas DHUICQ, Jean-Pierre DOOR, David DOUILLET, Virginie DUBY-MULLER, Marie-Louise FORT, Yves FOULON, Yves FROMION, Annie GENEVARD,  Bernard GERARD, Franck GILARD, Philippe GOSSELIN, Claude GREFF, Jean-Jacques GUILLET, Michel HEINRICH, Patrick HETZEL, Philippe HOUILLON, Guénahel HUET, Jacques LAMBLIN, Valérie LACROUTE, Laure de LA RAUDIERE, Thierry LAZARO, Alain LEBOEUF, Isabelle LE CALLENNEC, Dominique LE MENER, Philippe LE RAY, Céleste LETT, Véronique LOUWAGIE, Gilles LURTON, Jean-François MANCEL, Alain MARC, Olivier MARLEIX, Franck MARLIN, Alain MARTY, Damien MESLOT, Yannick MOREAU, Pierre MOREL A L’HUISSIER, Alain MOYNE-BRESSAND, Jacques MYARD, Dominique NACHURY, Jacques PELISSARD, Bernard PERRUT, Bérangère POLETTI, Josette PONS, Christophe PRIOU, Didier QUENTIN, Jean-Luc REITZER, Bernard REYNES, Paul SALEN, Jean-Marie SERMIER, Fernand SIRE, Alain SUGUENOT, Lionel TARDY, Jean-Charles TAUGOURDEAU, Jean-Marie TETART, Dominique TIAN, Jean-Pierre VIGIER, Michel VOISIN, Laurent WAUQUIEZ

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1 octobre 2013 2 01 /10 /octobre /2013 22:32

 Alors que les Députés débattaient de la simplification et de la sécurisation de la vie des entreprises mardi soir, la langue bretonne a fait une entrée inattendue au sein de l’hémicycle du Palais Bourbon.  


Paul Molac, Député du Morbihan a en effet conclu son intervention par cette phrase « Pep tra azo mat azo mat da gaout ». En français : « Tout ce qui est bon est bon à prendre ».

 

C’est alors que le Président de séance, le Député des Côtes d’Armor Marc Le Fur a commenté du perchoir la sortie de son collègue « Matreze tout an dud n’o ket komprenet... » ce qui signifie « Peut-être que tout le monde n’a pas compris... ».

 

Grâce à nos Députés, le breton est entré dans l’hémicycle ! Qu’on se le dise...

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1 octobre 2013 2 01 /10 /octobre /2013 14:22

« Alors que nous avions trouvé un bon compromis sur la question du travail dominical, le Gouvernement de Jean-Marc Ayrault a décidé de rouvrir la boite de Pandore. » déclare le Député Marc LE FUR, très engagé pour la défense du repos dominical. « En 2008, les socialistes n’avaient pas pourtant de mots assez durs pour attaquer la proposition de loi que je contestais également, bien que je sois à l’époque dans la majorité. Mme AUBRY s’opposait à une société du « matérialisme absolu ». Elle affirmait que la société avait « besoin de pause ». M. Hollande précisait " Il y a la crise et ce n'est pas facile de garder son travail la semaine. Imaginer qu'on va créer de l'emploi en faisant travailler dans tous les secteurs le dimanche, cela me paraît une mauvaise idée, ce n'est pas un bon système de rémunération de faire que certains seraient obligés de sacrifier leur vie de famille pour avoir un peu plus de pouvoir d'achat" rappelle le député des Côtes d’Armor. « Les socialistes appliquent le principe du « changement » à leurs propres convictions et je le regrette. Je reste, quant à moi, persuadé qu’il faut préserver le repos dominical. C’est une question de sagesse, il y va de l’équilibre des familles. » conclut Marc LE FUR.

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19 septembre 2013 4 19 /09 /septembre /2013 07:41

Marc Le Fur a été élu mercredi 18 septembre, Vice-président du Groupe d'études parlementaire sur les Maladies orphelines à l’Assemblée Nationale. « Sans être un spécialiste du domaine médical, j’ai souhaité m’engager sur un sujet qui touche bon nombre de familles de ma circonscription » explique le Député de Loudéac-Lamballe. 

« J’ai été notamment sensibilisé à cette question par l’association Camille et Lucas de Plaintel, du nom de deux enfants souffrant respectivement du syndrome de Sanfilippo, et d’une pseudo-obstruction intestinale chronique ».

Maladie des os de verre, de l’homme de pierre ou syndrome de Lowe… On dénombre 8 000 maladies rares dans le monde, des maladies dites orphelines parce que délaissées par la recherche médicale. En France, des milliers de personnes sont touchées.

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16 septembre 2013 1 16 /09 /septembre /2013 11:05

Damien Abad, député de l’Ain, et Marc Le Fur, député des Côtes d’Armor, demandent à Benoit Hamon, ministre délégué à la Consommation, d’agir plus vite et d’aller plus loin en matière en matière d’étiquetage de l'origine des produits à base de viande pour mieux protéger les consommateurs suite à l’affaire « Spanghero ».

Si les deux députés s’annoncent prêts à soutenir l'amendement déposé par le sénateur Alain Fauconnier rendant obligatoire l'étiquetage de l'origine de la viande contenue dans les plats préparés, ils regrettent que cette disposition n’ait pas été introduite dès la 1ère lecture du texte « Consommation » à l’Assemblée nationale en juin dernier, comme ils le réclamaient.

Lors d’un l’entretien effectué vendredi dernier à Bruxelles avec Tonio Borg, Commissaire européen chargé de la politique des consommateurs, la délégation parlementaire conduite par Benoît Hamon, à laquelle participait Damien Abad, avait obtenu la confirmation que la Commission européenne n’était pas opposée à un renforcement des législations nationales.

Si, dans les prochains jours, le gouvernement ne prenait pas ses responsabilités dans le cadre de la suite l’examen du texte « Consommation », Damien Abad et Marc Le Fur déposeront à l’Assemblée nationale une proposition de loi sur cette question.
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